C’était un peu la quadrature du cercle. On ne pouvait envisager de viabiliser le parking qu’après avoir finalisé l’éclairage – on ne refait pas des tranchées dans un sol neuf.
Et tout ouvrage de ce type doit recevoir l’accord des architectes des bâtiments de France – qui n’a pas été obtenu.
La situation semblait donc bloquée, et pour longtemps.
Pour faire avancer le dossier, la municipalité a décidé d’installer un éclairage provisoire, qui restera en place jusqu’à ce qu’une solution pérenne soit trouvée.